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La boucle est bouclée !

  • esere5
  • 24 avr. 2023
  • 3 min de lecture


Bon j'ai ouvert la vanne du partage et de la transmission....alors j'y vais !

Ce week-end se déroulait le 1er stage de techniques de soins énergétiques que j'animais .

Par expérience je sais qu'il se passe toujours quelque chose durant ces temps de travail individuel et de groupe. Bien évidemment je laisse à chaque participante la teneur de ce qu'elles ont vécu. Par bonheur j'ai également eu mon lot de surprises que je vais vous livrer, à travers mon regard et mes perceptions.

Pour débuter (euh...ok il y a déjà quelques lignes avant celle-là !) je vais vous dire qui est sur cette photo. C'est mon père ! C'est la photo que je garde de lui dans mon portefeuille. Elle correspond au souvenir que je conserve de sa personnalité.

Quoi !? Ah le lien avec le stage....oui et bien ça vient. On travaille également la notion de patience et de cheminement sur ces temps de regroupement. Du coup cela me fait écrire quelques lignes de plus avant que vous puissiez en arriver aux faits. Je reprends...

Sur ce dimanche, à travers nos échanges une personne du groupe que je côtoie depuis plusieurs années aborde le nom de l'association "Le souffle d'Isis", qu'avait créée mon père en 2005 et dont j'ai repris l'activité sur Le Barp à la suite de son décès. Au 1er abord pas de réaction des autres personnes.

Puis le sujet revient et là une personne du groupe, dont je croise le regard intrigué et interrogatif, me dit "mais c'est une association qui était sur Gradignan !?". A ce moment-là je réponds laconiquement que oui ne voyant pas où cette personne voulait en venir. On croise nos informations de l'endroit, des activités etc pour en arriver au fait qu'elle avait réalisé sa formation de reïki 1er degré avec mon père en 2012. Ce "hasard" était bien troublant et de mon côté j'en ai perçu le sens du relais, de la validation de l'entreprise d'accompagnement que je menais avec une grande gratitude, surtout sur le lancement de cette nouveauté pour moi.

Le reste de la journée se déroule avec, pour ma part, cette anecdote à l'esprit et la satisfaction que j'y ai associée. Les choses auraient pu en rester là, ce qui était déjà ô combien satisfaisant, mais à la fin du stage, après avoir fait un tour de ce que chacun avait vécu et avant de se quitter, une autre personne à commencer à poser quelques questions relatives au Pays Basque. J'avais abordé l'attachement que j'ai pour cette région et son patrimoine ainsi que les énergies qui s'en dégagent et là, en écrivant je souris car je revis la scène. Pardon, je continue, donc cette personne me demande si je suis basque, je lui réponds que non, que c'est ma grand-mère qui l'était est que je suis plutôt un mix basco-béarnais (pas de commentaires svp). Et puis, je sens son hésitation, sa réflexion et elle continue en me demandant si le béret des basques est à bord large ou court. Tout en étant intrigué par cette question, j'essaie d'y répondre au mieux n'étant pas un spécialiste en la matière. Je la vois toujours réfléchir et dire d'une "oui parce que je fais des rêves, enfin des fois je rêve..." Et là elle s'autorise à nous livrer son rêve qu'elle a fait quelques jours auparavant. En résumant ce que j'en ai retenu, en espérant ne pas en froisser la teneur initiale, elle se voyait dans un amphithéâtre avec de nombreuses autres personnes dont elle ne percevait pas les visages. Dans ce lieu, à un moment donné, des papillons étaient lâchés, des papillons colorés, de tailles différentes et l'un d'entre eux, plus grand que les autres, est venu l'envelopper de ses ailes pour lui permettre de s'envoler, en douceur, tout en restant dans la salle. Juste pour information la symbolique du papillon est la transformation (Mylène, si tu me lis, merci ). La personne en charge de la transmission était un vieux monsieur aux cheveux blancs avec un béret sur la tête. Un monsieur tout en simplicité....

Là ça a fait tilt et j'ai sorti la photo de mon père de mon portefeuille pour la montrer à cette personne. Elle a mis une main sur son cœur et l'autre sur sa bouche pour marquer sa surprise et c'est à ce moment-là que j'ai vraiment senti que la "boucle était bouclée".

Étant parfois "dur à la comprenette" il fallait certainement ces 2 synchronicités pour que j'imprime bien le message. J'en connais un qui doit bien s'amuser là-haut (ou à côté) avec l'espièglerie qui le caractérisait mais aussi ces sentiments de joie qu'il exprimait quand il était confronté à cette magie de la vie, que je partage aujourd'hui.

J'ai également de la gratitude pour les personnes du stage pour lesquelles ces synchronicités ont un sens, autre que le mien, et qui j'espère les remplira comme cela est le cas pour moi.

Très belle semaine à tou(te)s.

Avec toute ma bienveillance

Emmanuel

 
 
 

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